Durante unas horas, la Conferencia Episcopal de Polonia publicó en su web las notas de las intervenciones de los padres sinodales. El texto ha desaparecido de internet, pero pueden leerlo íntegro aquí, en francés. ■ Mgr Victor Manuel Fernàndez (archevêque ; Argentine), recteur de l’Université catholique argentine, nommé membre du comité de rédaction de la Relation finale du Synode. – S. Thomas d’Aquin enseigne que l’amour se développe. Nous attendons le soutien des époux dans le développement de l’amour. La doctrine de la miséricorde doit être suivie par la charité pastorale. Obispo Víctor Manuel Fernández (Arzobispo Argentina), rector de la Universidad Católica de Argentina, miembro designado del consejo de redacción de la relación final del Sínodo. – Santo Tomás de Aquino enseñó que el amor se desarrolla. Esperamos el apoyo de los cónyuges en el desarrollo del amor. La doctrina de la misericordia debe ser seguida por la caridad pastoral. ■ Mgr Joseph Edward Kurtz (archevêque ; USA), président de la Conférence épiscopale des Etats-Unis. – Il faut une formation pour préparer la famille à prendre part dans la mission de l’Église. Nous devons éduquer les couples à la mission. Nous devons imiter le Christ qui a réuni autour de lui ses disciples, les a formés et ensuite envoyés « deux par deux » au monde. Il a fait sien le souci des jeunes marriés (Cana), et il a partagé la vie de ses amis : Marie, Marthe et Lazare. Dans les Actes des apôtres mention est déjà faites de couples marriés engagés dans l’évangélisation. Joseph Edward Kurtz (Arzobispo EE.UU.), Presidente de la Conferencia Episcopal de los Estados Unidos. – Se necesita formación para preparar a la familia a participar en la misión de la Iglesia. Tenemos que educar a las parejas a la misión. Debemos imitar a Cristo que se reunieron en torno a él sus discípulos, los formó y luego los envió de «dos en dos» para el mundo. Hizo suya la preocupación de los jóvenes se casa (Cana), y compartió la vida de sus amigos María, Marta y Lázaro. En los Hechos de los Apóstoles ya mención se hace de las parejas se casa se dedican a la evangelización. ■ Card. Elio Sgreccia (Italie), président émérite de l’Académie pontificale pour la vie. – Il est nécessaire créer un climat d’accueil et une pastorale de continuité. Il faut accompagner les époux et la famille tout au long de sa vie. Elio Sgreccia (Italia), presidente emérito de la Pontificia Academia para la Vida. – Es necesario crear un clima acogedor y una pastoral de continuidad. Se debe acompañar a los cónyuges y a la familia a lo largo de su vida. ■ Mgr Nicolas Djomo Lola (évêque ; Congo). – L’extrême pauvreté a un effet négatif sur le statut des familles. Pour y remédier, il faut de la solidarité entre les familles, une formation à la vie sociale dans la logique du bien commun et de distribution internationale, l’évolution des structures sociales. Obispo Nicolás Djomo Lola (Obispo Congo). – La pobreza extrema tiene un efecto negativo sobre la situación de las familias. Para remediar esto, necesitamos la solidaridad entre las familias, formándolas en la vida social, en el sentido del bien común y de la distribución internacional, el cambio de las estructuras sociales. ■ Card. Timothy Michael Dolan (USA), archevêque de New York – Il faut défendre ce que Dieu a révélé sur le mariage et la famille. Notre tâche est de soutenir la famille en bonne santé. Certains courants culturels et approches sociologiques, etc., représentent une menace pour la famille. Pour servir la famille, il faut partir de la Parole de Dieu. Timoteo Michael Dolan (EE.UU.), arzobispo de Nueva York – Tenemos que defender lo que Dios ha revelado sobre el matrimonio y la familia. Nuestra tarea es apoyar a la familia sana. Ciertas corrientes culturales y enfoques sociológicos, etc., son una amenaza para la familia. Para servir a la familia, debemos comenzar con la Palabra de Dios. ■ Mgr Johan Jozef Bonny (Belgique), évêque d’Anvers. Il convient de noter des éléments positifs dans les unions civiles, prêter attention au « Grain de Vérité ». Il faut éviter l’exclusion. Laisser une marge de manœuvre aux évêques locaux. Développer une vision de l’Église comme famille – unité dans la diversité. Johan Bonny Jozef (Bélgica), Amberes. Debe tenerse en cuenta los elementos positivos presentes en las uniones civiles, prestar atención a los «granos de verdad» que contienen. Evitar la exclusión. Dejar un margen de maniobra a los obispos locales. Desarrollar una visión de la Iglesia como familia – unidad en la diversidad. ■ Card. Ricardo Ezzati Andrello SDB (Chili), président de la Conférence épiscopale du Chili. – La famille évangélisée et évangélisatrice. La pastorale devrait être intégrale et organique. Il faut valoriser beaucoup plus l’amour humain, souligner le lien entre l’amour et le mariage, accompagné avec miséricorde les couples blessés. Ricardo Ezzati SDB (Chile), Presidente de la Conferencia Episcopal de Chile. – Las familias evangelizadas y evangelizadoras. El cuidado pastoral debe ser integral y orgánica. En caso de ser valorada amor mucho más humana, para enfatizar el vínculo entre el amor y el matrimonio,acompañando con misericordia a las parejas heridas. ■ Card. José Luis Lacunza Maestrojuán OAR (Panama), président de la Conaérence épiscopale du Panama. Moïse donne le consentement au peuple, il cède. Aujourd’hui, la « dureté de cœur » s’oppose aux plans de Dieu. Est-ce que Pierre ne pourrait pas être aussi miséricordieux que Moïse ? José Luis Lacunza OAR (Panamá), Presidente de la Conferencia Episcopal de Panamá. Moisés dio su consentimiento a las personas, al divorcio por «la dureza de su corazón». Hoy en día, la «dureza de corazón» se opone a los planes de Dios. ¿No podría ser Pedro tan misericordioso como Moisés? ■ Card. Gérald Cyprien Lacroix (Canada), archevêque de Québec. – Dieu t’aime comme tu es, mais Il ne te laisse pas dans le lieu où tu te trouves. Aujourd’hui, ce message devrait jouer un rôle plus important que jamais. Gérald Lacroix (Canadá), arzobispo de Quebec. – Dios te ama como eres, pero Él no te deja en el lugar donde te encuentras. Hoy en día, este mensaje debería desempeñar un papel más importante que nunca. ■ Mgr Charles Edward Drennan (évêque ; Nouvelle-Zélande). Beaucoup, faisant l’expérience du rejet, ont quitté l’Église. Changer le langage de la condamnation en un langage de miséricorde. Charles Edward Drennan (Bishop, Nueva Zelanda). Muchos, experimentando rechazo, se han ido de la iglesia. Cambiar el idioma de condenación por un lenguaje de misericordia. ■ Mgr Diarmuid Martin (Irlande), archevêque de Dublin. – Le mariage est respecté chez nous, mais dans un référendum la reconnaissance des unions de même sexe a été préconisée. La culture de l’antagonisme doit être évangélisée. Comment pouvons-nous parler de l’indissolubilité à des femmes trahies, et comment parler aux maris qui les ont trahies ? Diarmuid Martin (Irlanda), arzobispo de Dublín. – El matrimonio es respetado en nuestra patria, pero en un referéndum se abogó por el reconocimiento de las uniones del mismo sexo. La cultura de antagonismo debe ser evangelizada. ¿Cómo podemos hablar de la indisolubilidad a las mujeres traidcionadas, y cómo hablar con los maridos que les han traicionado? ■ Mgr Romulo G. Valles (archevêque ; Philippines). – Dans notre pays, 80% de la population est catholique romain, et néanmoins nous sommes engagés dans le dialogue interreligieux. Le dialogue est aussi nécessaire au sein du mariage. Rómulo G. Valles (Arzobispo Filipinas). – En nuestro país, el 80% de la población es católica, y sin embargo, estamos comprometidos en el diálogo interreligioso. También se necesita el diálogo dentro del matrimonio. ■ Jan Babjak, SJ (Slovaquie). – Chez nous, les familles sont semblables à celles d’ailleurs. Jésus n’a pas promis de nous libérer des difficultés. Il faut donner le vin de l’amour au lieu de l’eau du droit. Seul un vin pur a bon goût. Babjak, SJ (Eslovaquia). – Con nosotros, las familias son similares a los de otros lugares. Jesús no prometió que nos libraría de dificultades. Se debe dar el vino del amor en lugar del agua del derecho. Sólo un vino puro sabe bien. ■ Card. Béckara Boutros Raï, OMM (Liban), patriarche maronite d’Antioche et président du Synode de l’Église Maronite. – Le lien entre le patriarche et les fidèles est essentiel. Notre Synode a besoin du soutien de la Curie romaine. Béckara Boutros Rai, OMM (Líbano), patriarca maronita de Antioquía y el Presidente del Sínodo de la Iglesia Maronita. – El vínculo entre el Patriarca y los fieles es esencial. Nuestro Sínodo necesita el apoyo de la Curia Romana. ■ Mgr Antoine Nabil Andari (évêque ; Liban). – L’idéologie entre dans la vie des chrétiens. Ensuite, nous avons l’« amour libre », ensuite le plaisir est devient un absolu. Dans le langage laïc, nous parlons de l’amour et des droits. Le langage de saint Paul est absent. Antoine Nabil Andari (Obispo Líbano). – La ideología entra en la vida de los cristianos. Luego tenemos el «amor libre», entonces se convierte en un placer absoluto. En el lenguaje laico, hablamos de amor y derechos. El lenguaje de San Pablo está ausente. ■ Mgr Sérgio Eduardo Castriani, CSSp (archevêque ; Brésil). – Dans notre société, la violence sous toutes ses formes domine ; les enfants sont souvent victimes d’abus. L’Amazonie est en voie de disparition. Nous devons promouvoir la dignité de la personne humaine. Garder à l’esprit le document d’Aparecida. Il est nécessaire d’accompagner pastoralement les couples marriés et les familles. obispo Sérgio Eduardo Castriani CSSp (Arzobispo Brasil). – En nuestra sociedad, la violencia en todas sus formas domina; los niños son a menudo víctimas de abusos. El Amazonas está desapareciendo. Debemos promover la dignidad de la persona humana. Tenga en cuenta el espíritu del documento de Aparecida. Es necesario acompañar pastoralmente las parejas y familias. ■ Card. John Atcherley Dew (Nouvelle-Zélande). Un accompagnement est nécessaire dans des périodes difficiles de crises. Il faut être l’accompagnateur-ami. Essayer de reconcilier au lieu de condamner. John Dew (Nueva Zelanda). Se necesita apoyo en los momentos difíciles de crisis. Debe ser un amigo-compañero. Tratando de conciliar en lugar de condenar. ■ Mgr Henri Coudray, SJ (Tchad). Les époux ont besoin de s’écouter l’un l’autre et de suivre la dynamique de la miséricorde. Il faut évangéliser avec la tendresse d’une mère, avoir au cœur la tendresse délicate du Christ lui-même. Henri Coudray, SJ (Chad). Los cónyuges tienen que escuchar a otros y para monitorear la dinámica de la misericordia. Debemos evangelizar con la ternura de una madre, que en el fondo la delicada ternura de Cristo mismo. ■ Mgr Heiner Koch (Allemagne), archevêque de Berlin. – Il y a 5% de catholiques dans l’Est de l’Allemagne ; 50%, d’entre eux ne veulent pas se marier – ils ont une conception différente du mariage. Malgré cela, il faut transmettre la Bonne Nouvelle au sujet des couples marriés et la famille. Pourquoi l’exclusion des sacrements ? Beaucoup élèvent leurs enfants seuls ; d’autres sont des réfugiés. Les mourants reçoivent de l’aide – il faut l’aide de l’amour pour mourir en famille. Heiner Koch (Alemania), arzobispo de Berlín. – Hay un 5% de los católicos en Alemania Oriental; 50% de ellos no quieren casarse – tienen un concepto diferente del matrimonio. A pesar de esto, es necesario para transmitir la Buena Noticia acerca de las parejas se casa y familia. ¿Por qué la exclusión de los sacramentos? Muchos crían a sus hijos solas; otros son refugiados. Los moribundos recibir ayuda – necesita la ayuda de amor por la muerte de la familia. ■ Mgr Tarcisius Ngalalekumtwa (évêque ; Tanzanie). Dans notre société, l’absence d’enfants est considérée comme une malédiction. La paternité spirituelle aussi est considérée louable. Des familles adoptent donc des enfants, et l’adoption est souvent suivie par la naissance de leurs propres enfants. Tarsicio Ngalalekumtwa (Obispo Tanzania). En nuestra sociedad, la ausencia de los niños se considera una maldición. Paternidad espiritual es considerado como digno de alabanza. Así que las familias adopten niños, y la adopción a menudo es seguido por el nacimiento de sus propios hijos. ■ Mgr Blase J. Cupich (USA), archevêque de Chicago. – Les époux traitent souvent la famille comme une unité économique. Il faut promouvoir l’église domestique, la famille ouverte, capable d’intégrer ceux qui sont proches. Blase J. Cupich (EE.UU.), arzobispo de Chicago. – Los cónyuges a menudo tratan a la familia como una unidad económica. Debemos promover iglesia doméstica, la familia abierta, capaz de integrar los que están cerca. ■ Mgr Joseph Kallarangatt (Inde). – Chez nous, les grands-parents jouent un rôle énorme. C’est le capital spirituel, le rôle apostolique. Pères de famille, mères de famille ; rites domestiques – prière. Joseph Kallarangatt (India). – En casa, los abuelos desempeñan un papel muy importante. Es la capital espiritual, el papel apostólico. Padres, madres; rituales domésticos – oración. ■ Mgr Andrews Thazhath (archevêque ; Inde). – Les migrants perdent leur relation avec l’Église et se perdent à l’étranger. Ils vont à d’autres communautés religieuses. Il faut que l’Église accompagne les migrants. Des congrégations religieuses avec le charisme pour la mission parmi les familles seraient utiles. Andrews Thazhath (Arzobispo India). – Los inmigrantes pierden su relación con la Iglesia y se pierden en el extranjero. Ellos van a otras comunidades religiosas. Es necesario que la Iglesia acompañe migrantes. Las congregaciones religiosas con el carisma para la misión entre las familias serían útiles.
■ Card. Giuseppe Bertello (Vatican). – Un grave problème est le travail des mineurs (il s’agit d’une forme de violence contre les enfants) et les enfants-soldats. Ces enfants quittent l’école, mais sans leur le travail la famille ne pourrait pas survivre. Il faut créer des structures pour garantir aux enfants leur dignité. La conscience commune de la nécessité d’aide est importante et essentielle.
Giuseppe Bertello (Vaticano). – Un problema grave es el trabajo infantil (esta es una forma de violencia contra los niños) y los niños soldados. Estos niños salen de la escuela, pero sin su trabajo la familia no podrían sobrevivir. Debemos crear estructuras para garantizar a los niños de su dignidad. La conciencia común de la necesidad de asistencia es importante y esencial.
LIBRE DISCUSSION D’UNE HEURE ■ Card. Angelo Bagnasco (Italie). Le ministère pastoral pour la famille est nécessaire. C’est aux prêtres de s’exprimer sur ce sujet. Souvent quelques brebis restent dans la bergerie. Le Synode doit un mot de soutien pour les prêtres et leur travail avec les familles. On devrait se rappeler que les situations difficiles sont un fait courant. Nous devons rendre hommage aux familles qui sont en difficulté et restent fidèle aux promesses de mariage faites devant Dieu, malgré l’adversité et les problèmes. ■ Patriarche Fouad Twal (Jérusalem), patriarche latin de Jérusalem et président de la Conférence épiscopale de Cracovie des Arabes – Je remercie pour le Mitis Iuex. À parti de 8 décembre, pourra-t-il être encore utilisé dans des questions ouvertes plus tôt ? ■ Patriarche Ignace Youssif III Younan (Liban). – Devant nos yeux, la culture et les peuples sont détruits. Demander le respect de leur identité dans les pays où ils ont émigré. ■ Card. Stanisław Ryłko (Vatican). – Il est dit que l’Eglise devrait être comme « un hôpital de guerre », mais il n’y a pas beaucoup dans cette situation qui veulent être obligés d’aller à l’hôpital. St. Augustin demande à ceux qui veulent de l’aide mais ne veulent pas se convertir : « Pourquoi nous cherchez-vous ? ». C’est ainsi que se comportent certains baptisés qui sont en situation irrégulière, mais ne veulent pas recevoir le sacrement de la pénitence. Ainsi, nous avons non seulement une crise du mariage et de la famille, mais aussi une crise de la foi. 2 Tm 4,2-5 dit : « Proclame la parole, insiste à temps et à contretemps, réfute, menace, exhorte, avec une patience inlassable et le souci d’instruire. Car un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au contraire, au gré de leurs passions et l’oreille les démangeant, ils se donneront des maîtres en quantité et détourneront l’oreille de la vérité pour se tourner vers les fables. Pour toi, sois prudent en tout, supporte l’épreuve, fais oeuvre de prédicateur de l’Evangile, acquitte-toi à la perfection de ton ministère ! » ■ Card. Reinhard Marx (Allemagne), président de la Conférence épiscopale allemande. Etonné par la relation du Card. Erdő, il dit qu’il faut un débat sur le sacrement du mariage. « Tout ou rien » n’est pas une option. On ne doit pas montrer que les aspects négatifs de notre culture, parce que nos gens ne comprennent pas. ■ Mgr Lucas van Looy, sdb (évêque ; Belgique). Il faut de l’éducation et la découverte de la richesse de la contribution de l’Eglise à la société. La famille a besoin du soutien de l’Eglise. ■ Patriarche Grégorie III Laham, BS (Syrie), partiarche of Antioche et président du Synode de l’Eglise grecque-melkite. – Toujours parler du « sacrement du mariage » plutôt que de « mariage ». Montrer la beauté spirituelle du mariage. Pour aider les époux, il faut leur montrer la vision spirituelle, positive et immuable du mariage. Souvent, nous ne sommes pas unis autour de cette vision positive du mariage et de la famille. Jésus corrige Moïse. L’instabilité du mariage est contraire à sa nature. ■ Card. Fernando Filoni (Vatican). – La situation actuelle dans les pays où la persécution des chrétiens continue : des filles sont enlevées et violées ; autres – mineures – subissent des pressions dans le mariage ou sont forcées à se prostituer. Il faut prendre soin de leur réinsertion dans les communautés paroissiales. ■ Mgr Tadeusz Kondrusiewicz (Bélarus), président de la Conférence épiscopale du Bélarus. – De quoi est-ce que nous traitons ici ? Nous devons parler de la famille et non pas d’autres affaires. Si nous acceptons de donner les sacrements aux divorcés vivant dans de nouveaux rapports, nous sommes en faveur du divorce. ■ Mgr Pio Vito Pinto (Vatican). Doyen du Tribunal de la Rote romaine. – Les cas antérieurs au 8 octobre 2015 ne sont pas soumis à Mitis Iudex Dominus Iesus. S’il reste des jugements pendants après le 8 octobre, ils y seront soumis. Le jour du 8 octobre marquera le début de la période de préparation. L’évêque doit être conscient de l’énorme responsabilité qu’il porte dans le cadre de ces processus. ■ Patriarche Louis Raphaël I Sako (Irak), patriarche chaldéen de Babylone et président du Synode de l’Église chaldéenne. – En Irak, nous ne comprenons pas pleinement les réfugiés. Nous avons besoin de soutien afin qu’ils ne soient pas obligés de fuir leur patrie. ■ Card. André Vingt-Trois (France). Nous sommes prisonniers de la relation entre la vie personnelle et sociale. Nous ne trouvons pas de formule logique pour surmonter la crise. Il reste seulement à reconnaître que nous aussi, nous faisons partie de cette confusion qui ne peut être résolue sans le sentiment d’humilité. ■ Card. Leonardo Sandri (Vatican), préfet de la Congrégation pour les Églises orientales. – Il a parlé de la méthode de travail en petits groupes. Il a demandé à ce sujet, sur quels textes nous devons nous baser. ■ Card. Lorenzo Baldisseri – Tous les commentaires précédents envoyés au secrétariat du Synode ont été inclus dans l’Instrumentum laboris. On y ajourera les fruits des discussions des Pères synodaux sur les trois parties de l’Instrumentum Laboris 2015. ■ Mgr Paul André Durocher (Canada), président de la Conférence épiscopale du Canada. – La première partie de l’Instrumentum Laboris 2015 est purement sociologique. Il faut le compléter avec la perspective de la foi. ■ Mgr Jorge Liberato Urosa Savino (Venezuela). Il faut garder la fidélité à la vérité sur le mariage et la famille et aussi sur l’Eucharistie. Je remercie le Cardinal Erdö pour le beau texte de la Relatio. ■ Card. George Pell (Vatican), préfet du Secrétariat économique. – Il convient de commencer tout non à partir de la sociologie, mais à partir de la Parole de Dieu. Nous apprécions la valeur de la libre discussion, cependant, il faut une distinction claire entre modi et propositiones. Est-ce que la répartition tripartite actuelle de l’Instrumentum Laboris 2015 peut être maintenue ? Pourquoi la Commission qui a rédigé la Relation finale du Synode a-t-elle été nommée dans cette composition ? Angelo Bagnasco (Italia). El ministerio pastoral para la familia es necesario. Es por sacerdotes para hablar sobre este tema. A menudo pocas ovejas están en el redil. El Sínodo tiene una palabra de apoyo a los sacerdotes y su trabajo con las familias. Hay que recordar que las situaciones difíciles son un hecho común. Debemos rendir homenaje a las familias que están luchando y seguir siendo fieles a las promesas de matrimonio hechas ante Dios, a pesar de la adversidad y los problemas. ■ Patriarca Fouad Twal (Jerusalén), patriarca latino de Jerusalén y Presidente de la Conferencia Episcopal de Cracovia árabes – Yo agradezco la Mitis Iuex. El 08 de diciembre la fiesta, que todavía puede ser utilizado en las preguntas abiertas anteriores? Patriarca Ignace Youssif III Younan ■ (Líbano). – Ante nuestros ojos, la cultura y los pueblos son destruidos. Exigir el respeto a su identidad en los países que han emigrado. ■ Card. Ryłko (Vaticano). – Se dice que la Iglesia debe ser como «un hospital de guerra», pero no hay mucho en esta situación que quieren ser obligados a ir al hospital. San Agustín se pregunta los que quieren ayudar pero no quieren convertir: «¿Por qué estás buscando? «. Así algunos han bautizado en situación irregular, pero no quieren recibir el sacramento de la penitencia. Por lo tanto, tenemos no sólo una crisis del matrimonio y de la familia, sino también una crisis de fe. 2 Tim 4,2-5 dice: «Predica la palabra, insiste a tiempo ya destiempo, reprende, amenaza, exhorta con toda paciencia y en la instrucción. Para vendrá tiempo cuando no sufrirán la sana doctrina, sino de acuerdo a sus pasiones y comezón de oír, se amontonarán maestros en cantidad y apartarán sus oídos de la verdad y se volverán a fábulas. Para usted, siempre será constante, soportar el sufrimiento, hacer el trabajo de un predicador del Evangelio, paga hasta por la perfección de su ministerio! » ■ Card. Reinhard Marx (Alemania), Presidente de la Conferencia Episcopal Alemana. Asombrado por la relación del Card. Erdő, dijo que es necesario un debate sobre el sacramento del matrimonio. ‘Todo o nada’ no es una opción. No hay que mostrar los aspectos negativos de nuestra cultura, porque nuestra gente no entiende. ■ obispo Lucas van Looy, cuarto de baño (Obispo Bélgica). Se necesita educación y explorar la riqueza de la contribución de la Iglesia a la sociedad. La familia necesita el apoyo de la Iglesia. ■ III Laham Patriarca Grégorie, BS (Siria), partiarche de Antioquía y el Presidente del Sínodo de la Iglesia greco-melquita. – Siempre hable del «sacramento del matrimonio» en lugar de «matrimonio». Mostrar la belleza espiritual del matrimonio. Para ayudar a los cónyuges, debemos mostrarles la visión espiritual, el matrimonio positivo y que no cambia. A menudo no estamos unidos en torno a esta visión positiva del matrimonio y de la familia. Jesús corrige Moisés. La inestabilidad del matrimonio es contrario a su naturaleza. ■ Card. Fernando Filoni (Vaticano). – La situación actual en los países donde la persecución de los cristianos continúa: las niñas son secuestradas y violadas; otros – menores – se ven presionados a casarse o se ven obligadas a ejercer la prostitución. Debemos cuidar de su reintegración en las comunidades parroquiales. Tadeusz Kondrusiewicz ■ Obispo (Bielorrusia), Presidente de la Conferencia Episcopal de Bielorrusia. – ¿Qué es lo que tratamos aquí? Tenemos que hablar acerca de la familia y no a otros casos. Si estamos de acuerdo con dar los sacramentos a los divorciados que viven en una nueva relación, estamos a favor del divorcio. ■ obispo Pío Vito Pinto (Vaticano). Decano del Tribunal de la Rota Romana. – El caso anterior en 08 de octubre 2015 no están sujetos a Mitis Iudex Dominus Iesus. Si todavía están pendientes los juicios después de 08 de octubre, que estarán sujetos. El día del 8 de octubre marcará el comienzo del período de preparación. El Obispo debe ser consciente de la enorme responsabilidad que tiene como parte de estos procesos. ■ patriarca Raphael I Louis Sako (Iraq), patriarca caldeo de Babilonia y el Presidente del Sínodo de la Iglesia Caldea. – En Irak, no entendemos plenamente los refugiados. Necesitamos apoyo para que no se ven obligados a huir de su tierra natal. ■ Card. André Vingt-Trois (Francia). Somos prisioneros de la relación entre la vida personal y social. No podemos encontrar la fórmula lógica para superar la crisis. Sólo queda por reconocer que nosotros también somos parte de esta confusión puede resolverse sin un sentido de humildad. ■ Card. Leonardo Sandri (Vaticano), prefecto de la Congregación para las Iglesias Orientales. – Habló sobre el método de trabajo en pequeños grupos. Le preguntó al respecto, en el que textos que hemos de basarnos. ■ Card. Lorenzo Baldisseri – Todos los comentarios anteriores al Sínodo de la secretaría se incluyeron en el Instrumentum laboris. Discusiones Nos ajourera el fruto de los Padres sinodales son las tres partes del Instrumentum Laboris, 2015. ■ Obispo Paul André Durocher (Canadá), Presidente de la Conferencia Episcopal de Canadá. – La primera parte del Instrumentum Laboris 2015 es puramente sociológico. Debemos complementarlo con la perspectiva de la fe. ■ Obispo Jorge Urosa (Venezuela). Mantener la fidelidad a la verdad sobre el matrimonio y la familia y también de la Eucaristía. Agradezco al cardenal Erdo para el hermoso texto de la Relatio. ■ Card. George Pell (Vaticano), prefecto de la Secretaría Económica. – No se debe iniciar desde la sociología, sino de la Palabra de Dios. Apreciamos el valor de la discusión abierta, sin embargo, debe ser una clara distinción entre el cambio y propositiones. No se puede mantener la división tripartita actual del Instrumentum Laboris en el 2015? ¿Por qué se fue designado a la Comisión que redactó ella tiene la relación final del Sínodo en esta composición?
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Bien por Infovaticana por publicar esto. Aquí se ve bien a las claras la marea y las posturas encontradas que existen.
Baldisseri ha prohibido que salgan estas notas. Los obispos pueden publicar sus propias intervenciones pero no las de otros obispos. Por qué tanto secretismo sobre disertaciones sobre la familia? Y después nos acusan de conspiracionistas, como si no dieran ocasión a pensar que algo traman…
El futuro de la familia no se encuentra fuera de la familia sino, más bien, dentro de la familia. Las bodas de Caná nos hablan de un vino bueno que se agota y se vuelve insípido como el agua. Y nos hablan de un milagro que convierte esa vida, que ha perdido su sabor a lo largo de la fiesta terrenal, en un vino mejor que el de la primera hora. Es la Madre la que reconviene al Primogénito para que adelante su hora en la transformación del agua en el mejor vino para alegría de los esposos y sorpresa y regocijo de los invitados.
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El primogénito es el recuerdo perenne del primer amor de los padres, de la juventud de su amor bendecido por Dios y de la permanencia de ese amor en este mundo. En él se depositan las esperanzas de la familia y el futuro de esa misma familia, como modelo del resto de hermanos que estén por venir. A él se le entrega el estandarte familiar y recibe la sabiduría de sus mayores exigiéndosele igual responsabilidad. Cuando el resto de los hermanos llegan a la edad de emancipación el primogénito es espejo para los demás en ese proceso de separación de la unidad familiar original. Si el hermano mayor falla, el resto de hijos quedarán afectados en menor o mayor medida según el comportamiento del siguiente hermano.
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Me atrevería a decir que ese milagro que convierte el agua en el mejor vino es un milagro que se produce cuando el primer fruto del matrimonio abandona el lugar donde se educó y afronta, como en su día sus progenitores, una nueva vida en común con la persona que ama. La mayoría de los matrimonios jóvenes comienzan a tener problemas en sus relaciones pasados unos veinte años después de contraer matrimonio que es precisamente el momento en que el buen vino del placer sexual se agota y el primer hijo abandona el hogar. Se produce, entonces, esa crisis matrimonial, ese punto de inflexión, ese bajón que sólo la nueva vida de ese primer hijo, ese nuevo vino, es capaz de deleitar o embriagar a esos padres dubitativos.
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La legislación civil de la mayoría de los países contemplan deberes y derechos del matrimonio para cuando el vínculo matrimonial se deshace por defunción o divorcio o para cuando la unidad familiar se rompe de modo violento. Si se legisla en favor de una situación intrínsecamente mala, el divorcio, ¿por qué no sobreabundar legalmente en favor del estado matrimonial indisoluble? Todo lo que es bueno acaba siendo adoptado de forma natural por el resto de la sociedad. El régimen matrimonial que, inadecuadamente, demandan los homosexuales es un buen ejemplo. ¿Debería haber una catequesis especial para los primogénitos? ¿Debería denegarse al primer hijo, y esto son palabras mayores, la entrada a las órdenes sagradas en favor del matrimonio? ¿Valdría la pena volcar todos los esfuerzos de la comunidad cristiana para que ese matrimonio se realizase a la edad más temprana posible?
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La gente, hoy como ayer, sí se casa, por supuesto que se «casa», y cada vez a edades más tempranas. El problema es no saber o no querer reconducir ese amor a un estado superior que es el que proporciona el sacramento del matrimonio. Ya lo decía San Pablo «absteneos de la fornicación». El matrimonio no es un modo de escalar socialmente, ni la manera de establecer un patriarcado, ni la forma de obtener un patrimonio. Eso, como la atracción entre los individuos, está en manos de Dios. La mayoría de los hijos de familias cristianas que rechazan el matrimonio lo hacen por aquello que ven en su entorno más inmediato. ¿Despiertan discusiones tan apasionadas la recepción del resto de sacramentos? No.
Algunos padre sinodales dan la impresión de tener otra fe o ninguna fe. Otros dan la impresión de ser católicos. Nos tienen hartos! Ven Señor Jesús!
Felicitaciones Infovaticana por la publicación!